Je ne le dis pas en passant. J’ai été particulièrement choqué, blessé, meurtri, par les propos de celles et ceux qui, bénéficiant de cette formidable tribune, en ont profité pour insulter L'Humanité qui les accueillait et les communistes qui, selon François Ruffin, ne seraient préoccupés qu’à préparer des « verres de punch » ou, d'après Sandrine Rousseau, « qu’à planter des tentes ». Quand bien même serait-il « indigne » pour quelques-unes ou quelques-uns de veiller au bon accueil de nos hôtes et du public par des tâches pratiques, voire ingrates, voilà des propos de foutriquets puant le mépris de classe.
François Ruffin, les communistes ont permis votre élection ! Et quand on est élu sur les terres de grands Résistants, devenus députés et maires communistes comme Jean Catelas et René Lamps, on ne dit pas cela. On sait au moins se tenir correctement à table et, surtout, on n’insulte ni le passé ni l’avenir. Quant à Sophia Chikirou, vase - comme les vers de… - communicante de JLM, qui s'est versée 135 000 euros de salaires et dividendes via la société de campagne électorale de l'acronyme sus-cité, ajoutés à quelques à-côtés sonnants et trébuchants pour le beurre des épinards, butinant de fleur en fleur riches… de pollen, quand elle n'insulte pas les journalistes qui font leur travail ; un goût acide d'après vomi me brûle la gorge. JLM a relayé sur sa page Facebook la saloperie agrémentée d'un laconique « OK ». Ses doigts ont ripé : « KO » aurait-il dû plus lucidement écrire.
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