Les préhistoriens ont rayé la femme dans leurs recherches. Elles sont invisibles.
Mais les nouvelles technologies mises au service de l'archéologie, ont permis de sortir d’une vision stéréotypée.
Le point de vue de préhistoriennes et de certains préhistoriens est vraiment surprenant, très loin des clichés habituels.
Marylène Patou-Mathis, préhistorienne et directrice de recherche au CNRS, département Homme et environnement du Muséum
national d'Histoire naturelle, s'appuyant sur de récentes découvertes, déconstruit les processus qui ont invisibilisé les femmes et pose un autre regard sur l'histoire de l'évolution.
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