La librairie des Passeurs de Textes qui a opté pour l’Économie sociale et solidaire, repart à la conquête d’un public très large. Elle a inauguré le 11 février dernier ce nouveau parcours, soutenue par la Préfecture et les collectivités, chacun exaltant à qui mieux mieux le livre et la culture. On espère donc qu’elle pourra bénéficier de marchés publics contre les grosses structures sans personnel qualifié.
Toujours pas de bonne eau dans les robinets du Barséquanais. Les pollutions sont diverses en France (microbes autant que produits toxiques) Les rivières et les nappes phréatiques sont massivement contaminées par les nitrates et les pesticides. Mais les contaminations microbiennes dues à la vétusté des installations ( parfois à la malveillance ) sont également nombreuses. Or, les traitements nécessaires à la dépollution coûtent très cher. Tout cela se retrouve sur la facture du consommateur. Quand une région se vante d’avoir de bons produits, c’est l’eau sur l’évier qui les paie.
Le repas à un euro pour tous les étudiants, c’est fichu. Les boursiers continuent à en bénéficier, mais il est certain que bien d’autres étudiants en auraient besoin. Ça, plus le loyer de l’alcôve à plus de 500 €, c’est dur la culture.
Le nouveau directeur de l’hôpital vient d’être nommé. Sitôt arrivé, sitôt activé : un poste de médecin urgentiste est supprimé.
© 2025 - La Dépêche de l’Aube
Création : Agence MNKY